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« IMPRESSION STREAM »
A paraître le 1er novembre 2024
Sur le label "Incises" (distr. OutHere)
Stéphane Guillaume : soprano sax
Sedef Erçetin : violoncelle
Maria Papapetropoulou : piano
Antoine Banville : percussion
Paul Hanson : basson (invité sur le 6)
- Yedi (S. Guillaume)
- Habanera (S. Guillaume)
- Three Lines (S. Guillaume)
- Valse Errante (S. Guillaume)
- Ambivalence (V. Mendoza)
- Navarinou Road (S. Guillaume)
- Seguiriya (S. Guillaume)
- Aside (S. Guillaume / S. Erçetin / A. Banville)
- L’Île Aux Cygnes (M. Graillier)
- Chant Corse (H. Tomasi)
- Hearsay (S. Guillaume / S. Erçetin / M. Papapetropoulou / A. Banville)
- Like An Angel (D. Lockwood)
Produit et arrangé par Stéphane Guillaume
Enregistré par Gérard de Haro, assisté de Mattéo Fontaine,
au Studio « La Buissonne » à Pernes-les-Fontaines (84),
les 1er, 2 & 3 août 2022.
Mixé par Gérard de Haro
Masterisé par Nicolas Baillard
“ Depuis plusieurs années, je cherchais à croiser subtilement mon univers de musicien de jazz avec celui de la musique de chambre. Auprès de la violoncelliste stambouliote Sedef Erçetin et de sa complice pianiste athénienne Maria Papapetropoulou, je me suis rêvé à occuper la place du violon au sein d’une forme de trio emblématique. Agrémentée d’un précieux compagnon de route, Antoine Banville, ici percussionniste, la formation trouve un équilibre de couleurs et de rythmes dans lequel les méandres de mon écriture et de mes improvisations se glissent. Puisse ce petit voyage à travers cette douzaine de petits tableaux impressionnistes et intimistes vous mener aussi loin que le plaisir que nous avons eu à le réaliser. ”
« PEWTER SESSION »
Stéphane Guillaume : tenor, soprano & alto sax alto flute & bass clarinet
Frédéric Favarel : electric guitar
Marc Buronfosse : contrebasse
Antoine Banville : batterie
- Forget It (F. Favarel)
- Miss Worry (S. Guillaume)
- Sure This Is Art (A. Banville)
- Heptinuum (S. Guillaume)
- Almost Friends (S. Guillaume)
- See-Through (S. Guillaume)
- L’Amphi en Fard (S. Guillaume)
- Blues Around (S. Guillaume)
- Low Profile (M. Buronfosse)
- The Search (F. Favarel)
- Mister Mystery (M. Buronfosse)
- While Dreaming (F. Favarel)
- Dum Dum Dum (E. Louiss)
- llumilune (S. Guillaume)
Produit par Pierre-Alain Goualch & Stéphane Guillaume
Enregistré par André Charlier au « Studio des Egreffins » à Videlles (91) les ,18, 19 & 20 décembre 2013 excepté « l’Amphi en Fard », enregistré live au « Saint-Fons Jazz Festival » par Olivier Biffaud le 20 janvier 2012.
Mixé et Masterisé par André Charlier.
Cet album a été enregistré après dix merveilleuses années de collaboration avec Frédéric, Marc et Antoine ; trace concrète d’une étape devenue tellement rare. Cette « Pewter Session » était à notre complicité musicale ce que « les Noces d’Étain » sont à une vie de couple. J’étais très heureux de pouvoir convier le publique, qui nous suivait depuis plusieurs années et depuis la réalisation de trois merveilleux albums avant celui-ci, à notre petite célébration.
Liens Presse :
« WINDMILLS CHRONICLES »
Stéphane Guillaume: tenor, soprano & alto sax alto flute & bass clarinet
Frédéric Favarel: electric guitar
Marc Buronfosse: double bass
Antoine Banville: drums
Claude Egéa & Pierre Drevet : trumpet & flugelhorn
Eric Karcher & François Bonhomme : French Horn
Denis Leloup & Phil Abraham : trombone
Bastien Stil : Tuba
- La Légende de l’Uirapuru (S. Guillaume)
- Fields of Nothing (P.O. Govin / arranged by S. Guillaume)
- The Man With th Skullcap (S. Guillaume)
- Noéline (S. Guillaume)
- A Helicon On The Lookout (S. Guillaume)
- For Kenny (P. Drevet)
- l’Amphi en Fard (S. Guillaume)
- Valse d’Or (S. Guillaume)
- Nounoucet (S. Guillaume)
- Vent Sur le Reg (S. Guillaume)
- Ballade Irlandaise (E. Stern / arranged by S/ Guillaume)
Produit par Pierre-Olivier Govin & Stéphane Guillaume
Enregistré par Pierre Guinot, assisté par Pierre Gaucher au « Alhambra-Colbert » à Rochefort (17) les ,17, 18 & 19 Juin 2008
Mixé et Masterisé par André Charlier au « Studio des Egreffins », à Videlles (91)
Après deux albums très remarqués “Soul Role” et “Intra-Muros”, Stéphane Guillaume poursuit sa fantastique aventure musicale avec ses complices Frédéric Favarel (guitare), Marc Buronfosse (contrebasse) et Antoine Banville (batterie), quartet qui a acquis au fil des concerts et des rencontres un son de groupe incomparable.
Pour ce nouveau projet, il a souhaité associer à cet ensemble les amis qu’il a côtoyés tout au long de sa jeune carrière, en s’entourant d’un Brass Band composé de sept cuivres : deux trompettes et bugles, deux cors, deux trombones et un tuba. L’éolienne se nourrit de l’énergie des vents. Mais là, c’est le souffle des musiciens, ici un courant d’influences, ou encore une respiration de cultures lointaines, semblables à des particules de matière, qui viennent se brasser puis se déposer au cœur de ces onze tableaux, chroniques, hommages ou véritables petits contes.
Stéphane signe les compositions et arrangements de huit de ces titres. Il arrange « Fields of Nothing » né sous la plume de Pierre-Olivier Govin, ainsi que la « Ballade Irlandaise », célèbre composition d’Emil Stern. « For Kenny » est composé et arrangé par Pierre Drevet.
« Windmills Chronicles » a obtenu le prix de l’Académie du Jazz, comme meilleur disque de Jazz Français pour l’année 2009. »
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"Ecouter la musique de Stéphane Guillaume est toujours comme une bouffée d'air pur. Mais c'est un air chargé d'une grande intelligence, d'une abondance de technique autant que d'une humaine émotion. Que ce soit son écriture ou son jeu, l'art de Mr Guillaume flotte à travers la pièce avec toute l'énergie d'une brise de printemps soufflant par portes et fenêtres. " D'où vient cette personne?" C'est la question que tous mes collègues et amis Américains me posent quand ils l'entendent pour la première fois. "Il vient de France" est la réponse évidente, mais il y a plus que ça. Stéphane Guillaume est le fruit d'une combinaison presque magique d'influences musicales, rencontres issues de
la chance autant que de sa propre réflexion, et il a associé à un intellectualisme musical cette âme qu'il possède en tant qu'homme. Bien que je pense qu'il est un homme modeste, sa modestie ne peut cacher sa musique comme sa musique ne peut cacher sa modestie.
L'enregistrement inclut une pièce écrite pour Kenny Wheeler. Parfaitement adaptée pour un "Brass Project" album. Le disque entier semble célébrer et faire résonner les troublantes sensibilités de Wheeler ~ "For Kenny" y parvient sans aucun doute. Beaucoup de crédit à l'excellent ensemble que Stéphane a réuni pour l'album. Chaque pièce sur ce CD est un autre pas de géant dans cet incroyable voyage musical que Stéphane Guillaume a entrepris. Je suis content qu'il se soit embarqué sur un tel chemin, et lui suis gré de pouvoir le suivre en écoutant ce CD. J'attends avec impatience de pouvoir le rejoindre sur scène, aussi tôt que possible. Il est, tout simplement, un de mes musiciens préférés au monde."
Peter Erskine, Janvier 2009
Liens Presse :
« INTRA-MUROS »
Stéphane Guillaume : tenor, soprano & alto sax alto flute & bass clarinet
Frédéric Favarel : electric guitar
Marc Buronfosse : contrebasse
Antoine Banville : batterie
- Shade Indigo (S. Guillaume)
- Départ (F. Favarel)
- Walkin’ on the Other Sidewalk (S. Guillaume)
- Gamla Stan (S. Guillaume)
- Micmacadam (S. Guillaume)
- Quai des Arts (S. Guillaume)
- Ode à l’Angle Droit (S. Guillaume)
- Tramway du Soir (S. Guillaume)
- Green Time (S. Guillaume)
- Les Berges du Canal (S. Guillaume)
Produit par Stéphane Huchard & Stéphane Guillaume
Enregistré par Pierre Guinot au « Big Bone Studio » en janvier 2006.
Mixé et masterisé par Pierre Guinot & Alexis Blanchard.
Cet album a été la première brique du quartet que j'avais constitué pour défendre la musique de l'album précédent. Par la suite, notre collaboration a duré plusieurs décennies. Comme fil conducteur, j'ai choisi d'écrire de courtes proses musicales autour du thème de l'urbain.
Liens Presse :
« SOUL ROLE »
Stéphane Guillaume: tenor, soprano & alto sax & flute & alto flute & clarinet & bass clarinet
Claude Egéa : trompette & bugle (3 & 9)
Frédéric Favarel : electric & acoustic guitar (7 & 9)
David Patrois : vibraphone & Marimba (5 & 6)
Paul-Christian Staïcu : piano & Rhodes (2, 3, 8, 9 & 10)
Marc Buronfosse : contrebasse (1, 2, 3, 4, 5, 7, 8, 9 & 10)
Daniel Yvinec : basse (6)
Antoine Banville : batterie
- Urban Treck (S. Guillaume)
- Sur le Tarmac (S. Guillaume)
- À Ciel Ouvert (D. Patrois)
- Maître Nhôm (S. Guillaume)
- Les Sources de la Romanche (S. Guillaume)
- Formica Léo (S. Guillaume)
- Soul Role (H. Van de Geyn)
- Piana (S. Guillaume)
- Charivari (S. Guillaume)
- Rascar Capac (intro.) (L. Benhamou)
Produit par Daniel Yvinec & Stéphane Guillaume
Enregistré par Pierre Guinot au « Studio de la Forêt » en juin 2003.
Mixé par Pierre Guinot, Au « Studio Gimmick ».
« Adaptable – pour beaucoup, telle serait la qualité la plus marquante de Stéphane Guillaume.
Prenons-les au mot : comment en effet ne pas admirer son extraordinaire sens des instruments de musique, des genres musicaux et des contextes humains ? Impressionnant presque malgré lui, il livre toujours avec un naturel désarmant les fruits de sa formation précoce, brillante, complète, qui l’ont très tôt destiné à porter en lui les si rares qualités que requièrent le « métier » de musicien - déjà nombreux sont les orchestres qui ont bénéficié de ses services aussi exceptionnellement talentueux que généreux.
Il est donc légitimement admiré pour cela, Stéphane, non seulement connu pour savoir (vraiment) jouer d’un nombre incalculable d’instruments (généralement) à vent, mais aussi pour toujours aimer jouer de la musique, un peu comme il aime raconter des histoires, avec cette inimitable fraîcheur, mélange d’enthousiasme et de désir de partage permanents. C’est bien que l’on sache déjà cela, car ce qui nous est proposé ici est tout autre. Flûtes, clarinettes, saxophones, sifflements, arrangements multiples et orchestres à géométries variables… les pluriels demeurent, certes, comme un trait de largeur incontournable de sa personnalité, mais cette fois-ci au service d’un propos clairement personnel, et magnifiquement construit et inspiré.
De cette énergie de marcheur infatigable au service des autres, dont je fus maintes fois le témoin réjoui à ses côtés, de cette immense culture musicale, dont il ne laisse souvent transparaître qu’un aspect purement anecdotique (en imitant « pour rire »…), il se sert pour rappeler aujourd’hui qu’il sait marcher en-tête, choisissant savamment ses partenaires, et recentrant ainsi ses plus belles impressions de voyage pour poursuivre la construction du sien, avec bonheur et pour le nôtre.
Adaptable, certes… mais surtout bel et bien épris de liberté, ce disque en est un manifeste évident, ce n’est pas là son moindre mérite. »
Pierre de Bethmann / Juillet 2004
Liens Presse :
« MIAGE »
Stéphane Guillaume : tenor, soprano & alto sax, flute, clarinet & bass clarinet
Paul-Christian Staïcu : piano & rhodes
Giovanni Licata : contrebasse
Pierre Coutaudier : batterie
Claus Stötter : trompette (5)
Phil Abraham : trombone (9)
- Miage (S. Guillaume)
- Echi (E. Pieranunzi)
- Pour Oscar (P.C. Staïcu)
- Roundalai (O. Peterson)
- My Last Tones (P.C. Staïcu)
- Aigue Marine (S. Guillaume)
- L’Eveil (G. Licata)
- Blue Trane (J. Coltrane)
- Nounoucet (S. Guillaume)
- L’Ombre du Fantôme (P.C. Staïcu)
Enregistré et Mixé par Marc Durst
A « D.H.S. Studio »
En octobre 1996
« Il existe de nombreux profils de musicien de jazz. A qualité de jeu égale, on peut reconnaître ceux qui ont toujours eu beaucoup de facilités et ceux qui ont eu à se battre avec des dons limités, ceux qui ont peu de lacunes et ceux qui ont réussi à bâtir leur force sur un secteur particulier du jeu. Toute une palette existe, toutes les combinaisons se rencontrent, tout ce pourquoi vous ne rencontrerez jamais deux musiciens identiques pour ne parler que du bagage musical.
Stéphane GUILLAUME se situe à une extrémité du spectre : il fait partie des surdoués qui ont beaucoup travaillé et très jeune. En somme, tous les atouts. Et il faut dire que le bonhomme est un peu énervant pour les autres musiciens : il a bien peu de points faibles, en tout cas moins que la moyenne. Heureusement, en musique et peut-être particulièrement en jazz, le « bagage » ne suffit pas. Vous pouvez être un superman de la clé d’octave, si vous n’avez rien à raconter, vous êtes aussi utile qu’un moulin à parole placé à côté d’un poète. J’ai la faiblesse de panser que Stéphane ajoute à l’excellence de ses capacités une belle expressivité, dont vous pouvez aujourd’hui vous faire une idée à l’écoute de ce premier disque. Il n’est qu’au début de son chemin et devrait encore beaucoup nous étonner. Je sais en tout cas le bonheur que j’ai à le côtoyer au sein de l’Orchestre National de Jazz, non seulement pour ses qualités de musicien de pupitre irréprochable, mais aussi à l’entendre, concert après concert, développer ses idées de soliste (et c’est de surcroît un type très gentil).
Je me souviens la première fois que je l’ai vu. J’assistais à une Master Class que David Liebman donnait dans la classe de jazz de François Jeanneau au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Liebman, pour parler de saxophone, a choisi un cobaye parmi les élèves (et je crois que ce n’était pas tombé par hasard sur Stéphane) un adolescent imberbe et embarrassé qui le dominait d’une tête. Au premier son sorti de son alto, j’ai eu cette petite surprise bien connue, ressentie quand on identifie un son qui vous parle. Et je me suis dit qu’il fallait que je retienne le nom de ce garçon. »
Laurent CUGNY / Octobre 1996